Editorial 30 Mars 2015

Le printemps du Malotru

Après les marées d’équinoxe, l’arrivée du printemps, le changement d’heure, il était temps que notre Malotru sorte d’hibernation. Un mois et demi après son lancement, le temps de la réflexion, voici une nouvelle livraison à chercher dans votre jardin

Chocolat2Tout d’abord, il fallait engraisser un peu, se nourrir de l’actualité locale, écrire et passer à la moulinette du comité de rédaction.

Puis faire en sorte que nos forces croissent et embellissent. Et là, nous comptons sur vous !

Livrer avec constance et régularité un e-journal amateur, pour nous qui sommes issus d’un « mouvement d’Education Populaire tourné vers l’action », implique de vous associer, vous, lecteurs-consommateurs, dans un rôle d’écrivains-producteurs.

Des infos locales, vous en engrangez tous les jours, avec leur lot de coups-de-gueule et de ravissements, de rage et de franche rigolade…

Soyons clairs, nous attendons vos propositions avec impatience, mais nous ne les publierons probablement pas telles quelles. Elle passeront elles aussi à la moulinette du comité de rédaction, comme les textes de chacun d’entre nous. Il se peut même que nous en écartions certaines et dans ce cas nous nous en expliquerions.

Lancez-vous ! Infos, textes, photos, dessins…, « tout fait ventre ! ». Sur des sujets nouveaux ou en rebonds des sujets que nous aurons abordés. La quantité ne nous fait pas peur, je vous l’ai dit, nous trierons…

Et vous, Associations proches de notre sensibilité, peu valorisées dans notre chère presse locale, proposez-nous vos rendez-vous à mettre dans l’agenda. J’ai bien dit Associations, pas Partis politiques. Nous ne nous laisserons pas déchirer par les oppositions entre partis, les prises de position partisanes, les stratégies et tactiques inhérentes à la vie politique.

Des nouvelles brèves et un agenda au fil du temps, des articles plus fournis au moins une fois par mois, ce nous semble constituer un premier rythme de respiration. Cela dépend (aussi) de vous.

Et il est temps de lancer notre « grande campagne de médiatisation » !

Si Le Malotru vous semble utile et intéressant, vous ne manquerez pas, cher-e-s lec-teurs-trices, de le faire partager dans vos réseaux les plus larges, de bouche à oreille, d’écran à souris, vous le likerez, le twitterez, le bloguerez, comme les djeunz de tout âge que vous êtes… Que malotru.org envahisse le oueb, que Le Malotru déferle sur les réseaux sociaux  comme la septième vague sur nos côtes. Que notre prose se pose sur fesse-bouc, logique, non ?

Oui, nous nous mettons ainsi la pression ; la vie, quoi !